par On se retrouve aujourd’hui pour un nouvel unboxing pour cette édition collector de King’s Bounty 2 trouvée pendant les soldes à 14,99 chez Micromania (payée 4,99 vu qu’il me restait un bon de 10 balles !!).
L’édition comprend :
- Le jeu en version physique comprenant quelques codes pour des bonus en jeu.
- L’OST en version physique sur un CD
- Un petit artbook
- Un poster double face reprenant la jaquette ainsi que la carte du monde
- Une couronne
Le packaging est plutôt joli reprenant, une fois le fourreau enlevé, le même design en partie que celui-ci ainsi que quelques ennemis / avatars sur les autres faces. Le tout est bien rangé et surtout sécurisé (comprendre que rien ne risque de se casser au transport).
L’artbook est intéressant avec des croquis aussi bien sur le bestiaire, les personnages et Pnj que l’univers. Même s’il n’est pas épais, j’ai apprécié son contenu et sa diversité. Il arrive que certains artbook zappent certaines facettes du jeu ce qui est assez dommage je trouve. Pour le coup, un artbook plus grand et/ou épais j’aurais dit oui 😀
L’OST physique est toujours appréciable pour ceux aimant posséder du concret, quelque chose de palpable. Comme tout jeu heroic fantasy, on retrouve des instruments habituels comme une grande présence des perçus et surtout des vents / violons.
La pièce majeure de cette édition est bien entendu la couronne. Elle fait son poids mine de rien et semble vraiment bien faite de loin avec des formes tout autours et les pierres précieuses, mais dès lors qu’on s’approche un chouïa on remarque quelques loupés sur la finition notamment avec de la peinture irrégulière ou de la texture mal poncée . Ils ne sont pas nombreux du tout ces défauts, mais il faut tout de même les mentionner. Sinon l’objet en lui-même est super original et trône fièrement au milieu de mes pops GoT et LoTR et cela rend plutôt bien !
À 15 balles, c’est assurément une édition qui claque. Le jeu me tentait depuis quelque temps malgré des retours mitigés presse comme joueur donc c’est tout bénef. À 100 balles à sa sortie, c’était déjà plus discutable.
était déjà plus discutable.
