[IGN] Le test de Call Of Duty Vanguard est là !

Grosse attente comme chaque année, j’ai poncé le contenu du dernier opus de Call Of Duty pour le compte d’IGN France !

Développé par Sledgehammer, Vanguard nous ramène durant la Seconde Guerre Mondiale, aux commandes d’une unité d’élite qui traque le projet Phenix. Campagne, multi riche, zombie et bientôt lancé nouvelle map de Warzone au programme!

Joueur de Call Of Duty de la première heure, j’attends chaque année avec impatience le nouvel opus. Vanguard est généreux et offre bien plus de contenu day one que la majorité des épisodes passés, ou même que la concurrence depuis les lustres, La feature destruction amène un petit truc en plus appréciable à ces maps plaisantes aux approches différentes. On garde le classicisme sur les grandes lignes, avec des modes connus, mais efficaces. Le tout est saupoudré d’une nouveauté ci et là comme la montée en niveau des opérateurs, mais surtout de deux modes additionnels plus que fun : patrouille et champion de la colline. J’y adhère du fait du dynamisme que ces modes apportent.
Les sensations sont toujours au rendez-vous, avec un gameplay nerveux et une prise en charge de la Dualsense top couplés à un sound design léché pour enfoncer le clou.La campagne se laisse jouer avec quelques missions excellentes, mais sur la globalité on l’oubliera surement vite. J’aurais aimé quelque chose de plus consistant, s’attardant sur la création et les débuts de la Vanguard. Le solo a le mérite d’exister, son absence sur Black Ops IV avait été très décriée, mais on est en droit de vouloir plus aujourd’hui de la part d’Activision surtout qu’il y a du potentiel pour passer à un niveau supérieur. 
Forcément, le mode Zombie est la victime du gros travail effectué ailleurs avec un contenu et challenge bien trop léger et qui risque de ne pas répondre aux attentes des joueurs. Les problèmes récurrents de gestion des spawn commencent, quant à eux, à sérieusement peser dans la balance tant c’est flagrant day one. Ce n’est surement pas LE Call Of Duty gommant enfin ses imperfections, mais un bon opus tout de même.