Painkiller, un nom qui parle aux plus anciens, biberonnés au fast FPS, ayant été à l’école des Doom, Duke, and co et ayant donc touché à un moment donné début des années 2000 à Painkiller. 20 ans après, il revient dans un épisode assez déroutant… abandonné le solo scénarisé (bon on se comprend) pour du multi en mode service… Pas sur que cela plaise à tout le monde mais la formule reste sympa, entre potes. Le papier en ligne à présent ici.
Ce Painkiller-là n’est donc pas un simple remake, ni une suite directe : c’est une réinvention partielle, plus dans l’air du temps, avec ses qualités et ses concessions. On perd la dimension iconique du FPS d’autrefois, mais on gagne un défouloir rythmé, immédiat, techniquement solide et franchement agréable en coop. Pour qui accepte ce changement de cap, le résultat tient la route ; pour les puristes du solo old school, la déception est inévitable.